Dans la lettre de l'OCIM : Le Centre national de la Culture industrielle et du Travail du Luxembourg

Le Centre national de la Culture industrielle et du Travail du Luxembourg

The National Centre of Industrial Culture and Work of Luxembourg
Intégré à la Cité des Sciences, de la Recherche et de l’Innovation, le projet urbain de reconversion de la friche industrielle de Belval à Esch-sur-Alzette au Luxembourg, le Centre national de la Culture industrielle et du Travail est conçu comme un lieu de mémoire du passé sidérurgique de la région mais également comme l’élément dynamisant et animateur du réseau national de culture scientifique, technique et industrielle.
Ce document sera publié en ligne en texte intégral en septembre 2012.

Plan

Quelques mots sur la sidérurgie au Luxembourg

Prise de conscience du patrimoine industriel

Les hauts fourneaux de Belaval dans le contexte de la Cité des Sciences

Le concept du Centre national de la Culture industrielle et du Travail

Un centre de découverte de la sidérurgie

Un centre culturel de la Cité des Sciences

Les activités pédagogiques et de formations

Les réseaux de la culture industrielle, technique et scientifique

Le projet architectural

Le hall central

Le parcours de visite du haut fourneau

L’espace d’expositions temporaires

Le cube : documentation, formation, recherche, pédagogie, administration

L’illumination des hauts fourneaux

L’évolution du projet

 

 


Deux hauts fourneaux implantés à Belval au sud- ouest du Grand-Duché de Luxembourg ont survécu, au moins partiellement, aux différentes crises de la sidérurgie. S’ils ne verront plus aucune coulée réelle de fonte, un nouveau rôle leur est attribué dans le contexte de la Cité des Sciences, de la Recherche et de l’Innovation, un grand projet de l’État luxembourgeois en voie de création sur l’ancienne friche industrielle de Belval.

Selon le concept de conservation retenu par le gouvernement, un des deux hauts fourneaux est conservé pour accueillir le Centre national de la Culture industrielle et du Travail, le deuxième a été démantelé jusqu’à la silhouette. Ensemble, les vestiges industriels représentent un landmark impressionnant dans le paysage. Une partie des espaces libérés par le démantèlement seront occupés par des nouveaux immeubles réalisés dans l’intérêt de l’université du Luxembourg qui sera le principal utilisateur du quartier de la Terrasse des Hauts Fourneaux. Si les travaux s (...)

Référence électronique

[En ligne], 131 | 2010, mis en ligne le 01 septembre 2012, consulté le 22 janvier 2011. URL : http://ocim.revues.org/109